Blog d'humeurs,
blog de textes personnels,
de recettes de cuisine ou de coups de gueule,
blog d'interrogations, de questions,
sur l'actualité ou la vie en général...
On pourrait le qualifier de "fourre-tout",
je préfère le penser... à mon image :
complexe, éclectique, et forcément fait d'un peu de tout.

samedi 21 février 2015

De la publicité pour... quelque chose d'illicite !!! Si, si !

Deux événements aujourd'hui me font réagir...

Il y a un tout petit peu plus de deux ans (le 2 février 2013), quelques temps avant le vote de la loi Taubira sur le mariage, je m'interrogeais sur le fait que l'Etat nous mentirait... sciemment. Et quelques mois avant, j'avais déjà écrit à mon député pour lui demander de ne pas donner sa voix à cette loi parce qu'elle finirait (entre autres) par justifier tout et n'importe quoi. Dans mon courrier, je demandais entre autres si la société devait entériner quelque chose par la loi au motif que ce quelque chose existait (ce qui était un des arguments des personnes favorables à la loi sur le mariage pour tous) : Il y a des couples homosexuels qui vivent ensemble, qui élèvent des enfants, il faut donc leur donner un cadre législatif sécurisant puisque ces "familles" existent. Et je demandais si parce que le crime existait, il devait être rendu légal ?
Sur le coup, certains de mes contacts Facebook m'ont juste dit que je délirais, que c'était du n'importe quoi comme argument, qu'il n'était pas question de cela mais de "familles" et de "couples" qui s'aiment. Oui. Sauf que.

Sauf qu'aujourd'hui, à peine deux ans après (parce que pour Gleeden, la pétition, je l'ai déjà signée il y a plusieurs mois), on est dans une situation totalement délirante où la société en vient à demander elle-même la légalisation de faits par ailleurs punis par la loi. Et trouve cela "bien" sans doute.

Premier cas : Gleeden. Aujourd'hui (ou ces jours-ci, je ne sais pas exactement quand aura lieu le procès), les Associations Familiales Catholiques ont attaqué Gleeden en justice à cause des publicités placardées sur les murs du métro et à l'arrière des bus (et aussi en ville, mais ces publicités ont été retirées dans plusieurs villes de la région parisienne à la demande des élus - et d'ailleurs, ce matin, 170 élus ont publié une tribune contre cette publicité). 
Quel est le problème ?
Gleeden est un site de rencontres dont l'objet est précisément de promouvoir l'adultère (en fait, vous n'avez pas pu passer à côté, c'est dans tous les médias ces jours-ci, par exemple ici). Or l'adultère, s'il n'est plus considéré comme un délit de nos jours, est quand même défendu par la loi, puisque le code civil (article 212) dit très clairement que les époux se doivent fidélité (et ça, c'est même pas l'Eglise qui le dit, mais le maire ou son adjoint au moment où il marie les époux). Donc on a un site de rencontres qui fait sa publicité sur le fait qu'un homme et une femme consentants (et par ailleurs mariés, mais pas ensemble) ne font rien de mal et peuvent très bien tromper leurs conjoints respectifs, et qu'en plus, Gleeden dans sa grande mansuétude va les y aider.
Chouette !

Deuxième cas : la sortie d'un livre ces jours-ci. Un livre co-écrit par Sarah Levine, Américaine mariée à un Français et la mère porteuse de son aîné, Oscar. Le couple a un second enfant, Viviane et un troisième est en route aux Etats-Unis via, une fois de plus, une GPA. Alors d'accord, Sarah Levine n'a pas eu de bol. Plusieurs FIV, toutes ratées, puis la découverte d'un cancer de l'endomètre et hop, terminé l'espoir de mettre elle-même au monde, un jour, un enfant.
Mais quand même. Il y a un truc qui me gêne là-dedans. Est-ce que la GPA n'est pas interdite en France ? Est-ce qu'il n'y a rien de choquant dans le fait qu'un livre témoignage fasse la promotion, en France, d'une pratique qui y est (pour l'instant, mais pour combien de temps encore), interdite ? Et que cette promotion se fasse à la télévision, à la radio, bref, sur les grands médias nationaux ? Parce que l'info, je l'ai entendue cet après-midi sur France Inter ! Et en faisant des recherches, j'ai découvert un reportage sur France 3 ! Donc ce n'est pas une obscure chaîne du satellite ou une petite radio dissidente qui en fait la pub ! Non, ce sont les grands médias ! (d'ailleurs, à la réflexion, ça ne m'étonne pas. On parle beaucoup de l'indépendance des médias... Comment un journal comme Le Monde peut-il être indépendant quand il doit sa survie à... Pierre Bergé, le même qui a déclaré au moment du débat sur la loi Taubira qu'il n'y avait aucune différence entre l'ouvrier qui loue ses bras à l'usine et la femme qui loue son ventre à un couple qui veut avoir un bébé ?)

Ce que je remarque, c'est que la circulaire Taubira, parue en janvier 2013 (et qui avait en partie motivé mon billet du 2 février 2013), a, comme prévu, ouvert la boîte de Pandore. C'est le coup du Cheval de Troie, ça ! On interdit "officiellement" la GPA, mais on dit aux parents "pas de problème, vos enfants n'ont pas à pâtir de vos manquements à la loi, ils pourront avoir la nationalité française, il suffit de la demander !" et dans le même temps, la Cour Européenne des Droits de l'Homme condamne la France pour une histoire de GPA mais la France, qui redit par ailleurs son opposition à la GPA, ne fait pas appel de cette décision. Donc en France, on est officiellement contre, mais on fait tout pour faire comprendre qu'en fait, on est pour.
Dites, vous nous prenez pour des imbéciles ou quoi ?

Quand je vous disais que bientôt, nous serions dans un pays sans foi ni loi... ben... zut. J'avais raison. Mince alors.

C'était mon "humeur" du jour. Je ne décolère pas, bien sûr. Mais il y a belle lurette que j'ai compris ce qu'on nous prépare dans ce monde. Un monde déshumanisé où les hommes et les femmes se doivent d'être identiques et où il est interdit de penser autrement que ce que dicte l'Etat. Oui. Une dictature de la pensée. Si on y réfléchit bien, c'est déjà le cas. 

Charlie Hebdo. Qui publie des caricatures et des dessins obscènes à l'encontre de toutes les religions (et ils n'ont pas été particulièrement tendres avec le Pape ! Au fait, vous avez vu des intégristes catholiques tirer sur les dessinateurs de Charlie Hebdo avant que les islamistes le fassent ? Ben pas moi.). 
Et un journal qui veut publier une parodie de Charlie Hebdo et qui se voit interdit de le faire par... Charlie Hebdo, au motif qu'il y a des choses dont on ne peut pas rire !!!! Si ! Véridique !


Heureusement que je suis catholique. Parce que, du coup, je suis remplie par l'Espérance chrétienne. Celle qui dit qu'à la fin, le Christ est vainqueur. Parce que sinon, dans ce pays, vu tout ce qui s'y passe, il y aurait de quoi se tirer une balle dans la tête. Mais non, parce qu'à la fin, le Christ est vainqueur.

Seigneur, reviens vite ! Ce monde est d'ores et déjà devenu fou...

dimanche 8 février 2015

Questions sur la contraception (le retour)

Ce billet fera sans doute grincer des dents. J'en suis totalement désolée. L'objectif de mon billet n'est pas du tout de culpabiliser, de jeter l'anathème ou de dire « oh les vilains !!! », mais de crier, devant un phénomène dont la plupart des gens semblent ne même pas avoir conscience : à quel point la vie humaine est devenue marchandise… à notre corps défendant d'ailleurs. Parce que je ne doute pas une seconde que les personnes qui ont recours à la contraception ou aux autres techniques dont il est question ici, ne le fassent pas pour de « bonnes raisons », en tout cas pour des raisons que la société juge bonnes et acceptables. Pardon par avance à tous ceux et toutes celles qui pourraient être choqués par ce qu'ils vont lire. Ne voyez ici aucun jugement envers des personnes (j'ai moi-même eu recours à la contraception, vous le savez si vous avez lu les divers billets de ce blog, je suis donc hyper mal placée pour émettre un jugement, et d'ailleurs, je n'en ai aucun droit). Il s'agit juste, ici, de dire autre chose que ce que les médias et la « société » nous dit et nous rabâche à longueur de temps...

J'ai terminé il y a quelques semaines le livre « Bonnes nouvelles sur le sexe et le mariage » de Christopher West, et ce livre m'interpelle fortement, y compris bien après la fin de ma lecture. J'y trouve énormément de réponses à mes questions et notamment sur le pourquoi de certaines choses.
Il y a quelques jours, je suis tombée sur un dessin de Martin Vidberg, en lien avec un article du Monde relatant la réaction d'une jeune femme danoise suite à la mise en ligne de photos d'elle, nue, sans son consentement, par son ex-petit ami. Elle répond sur Internet en faisant appel à une photographe et en postant des photos d'elle… nue… mais, cette fois, avec son consentement.

Ce « fait divers » somme toute, malheureusement, assez fréquent maintenant, me laisse quelque peu interloquée. Comment peut-on répondre à une sorte de viol par une exhibition ? Qu'est-ce qui ne va pas dans notre société pour qu'un homme en vienne à étaler sur la « toile » une partie de la vie privée, de l'intimité de la femme qu'il a aimée (on espère) pour se venger de l'avoir quitté ? Qu'est-ce qui ne va pas, pour qu'une femme publiquement « salie » de la sorte trouve normal et naturel de s'exposer nue, en réponse à l'injure subie ?

Mon mari, une fois de plus, dirait « C'est parce qu'il n'y a plus la foi ». Une fois de plus, je dirais que c'est un peu lapidaire mais, en l'occurrence, je suis maintenant persuadée qu'il a raison.

Ce fait divers me renvoie directement à ma lecture citée plus haut. Parce que de telles dérives, de tels comportements, semblent être directement le fruit de la culture de mort dans laquelle nous vivons depuis maintenant plusieurs décennies.
Le « monde » (la société, quoi, pas le quotidien) nous présente la pilule, la contraception, comme une avancée, un progrès pour la femme. Elle peut ainsi « choisir » d'avoir des enfants « quand elle veut » et « si elle veut ». Elle est donc libre… du moins en apparence. En apparence seulement, parce qu'en acceptant la pilule (et tous les autres moyens de contraception mis à notre disposition, tels l'implant, le préservatif, le stérilet, les spermicides, le diaphragme et autres), la femme a en quelque sorte accepté une nouvelle servitude, celle du sexe pour le sexe. Finalement, sous couvert de « libération sexuelle », pour « jouir sans entraves » (c'est-à-dire sans risque de se retrouver enceinte), les femmes sont devenues esclaves du désir sexuel des hommes… et du leur. Avec la contraception, les femmes n'ont plus d'excuses (sauf la « migraine ») pour ne pas accéder aux désirs des hommes et ne pas les satisfaire. Avec la contraception, si une femme ne veut pas « faire l'amour », c'est en gros soit parce qu'elle n'est pas amoureuse, soit parce qu'elle est malade (ou anormale, allez savoir!). Du coup, la seule entrave à la satisfaction constante du désir sexuel (de l'homme et/ou de la femme, à savoir la conception d'un enfant) a disparu. Et tout ça pourquoi ? Parce que la sexualité a été coupée de sa finalité première : la fécondité.

Cette jeune femme a parfaitement raison : son « ex » l'a exhibée, telle un objet, au vu et au su de tout le monde. Mais, s'il a eu tort, comment s'en étonner, au fond ? En déconnectant la sexualité de la fécondité, l'homme et la femme ont fait du sexe quelque chose de l'ordre de la bestialité, la satisfaction des « besoins » sexuels de la personne (comme on a besoin de manger, d'aller aux toilettes…). [petit aparté pour expliquer un peu : lorsque la sexualité est vécue dans l'objectif de la fécondité, ou avec la fécondité en arrière-plan, un respect de l'autre s'instaure forcément. Celui ou celle avec qui j'ai des rapport sexuels est le potentiel père ou la potentielle mère de mes potentiels enfants. Donc l'ouverture à la vie du couple « oblige » en quelque sorte le couple à considérer l'autre comme un être humain et non pas comme le moyen d'assouvir un instinct ou un besoin sexuel.] Et si le but de la sexualité est de satisfaire des besoins sexuels, alors il n'y a aucune raison de ne pas se servir de l'autre comme d'un objet sexuel. Au même titre, à la limite, qu'un sex-toy ou que la masturbation (d'ailleurs, les sex-toys et la masturbation, s'il s'agit de satisfaire des « besoins », c'est peut-être même mieux et plus sain : pas de risque de grossesse, de transmission de MST… et pas besoin de les respecter, surtout pour les sex-toys!). Alors, bien sûr, il y a des couples qui vivent leur sexualité de manière authentique, même avec la contraception. Mais pour ma part, je me demande s'ils ont conscience de ce qu'ils font ? Je ne le pense pas, sans quoi ils ne le feraient sans doute pas. On nous a tellement « vendu » la pilule (et les autres contraceptifs) comme un « droit » et une chose normale qu'il est maintenant fort difficile d'avoir une parole différente. Ne pas prendre la pilule, c'est quasiment de l'ordre du délire, même et surtout pour les médecins…
Ne parlons donc pas, alors, de l'avortement…

Aujourd'hui, attendre un enfant est un vrai paradoxe. Selon la situation des parents, l'enfant peut être attendu et ne jamais venir (stérilité), il peut être désiré et programmé (grâce en partie à la contraception qui permet de décider du « quand », sans aucune garantie que cela « fonctionne », peut-être aussi, justement, à cause de la pilule?), il est souvent non désiré, donc avorté (et en plus, pourquoi s'en priver puisque c'est maintenant un « droit » remboursé à 100 % par la sécurité sociale?) et, parfois, il arrive trop tôt et on fait tout pour ne pas le perdre, quitte à risquer des séquelles (prématurés), ou alors on lui fait subir un avortement et il naît… vivant ! On le laisse alors mourir dans la plus grande solitude et la pire indifférence, sous prétexte que ses parents n'ont aucun « projet parental » pour lui (avortements tardifs)… Il peut aussi être congelé (à l'état d'embryon, comme un bout de viande qu'on se garde pour plus tard), histoire d'être certain qu'on pourra un jour le faire naître…

Mais alors, une question se pose… Cet enfant est-il une personne ou un objet, qu'il soit désiré ou non ? Est-il un être humain ? A-t-il, aujourd'hui, plus d'importance que le chien, le chat ou la maison, s'il est synonyme de gêne financière, de trouble-fête, d'empêcheur de tourner en rond, ou s'il est tellement indispensable qu'il en devient un droit ?
Comment se fait-il que notre société en vienne à considérer la maternité comme un fardeau, un poids ? Et l'enfant comme une gêne ? La vie a-t-elle si peu de valeur que l'on peut désormais la jeter sans aucun état d'âme ?

Je me souviens de mes grossesses, plus ou moins éprouvantes, fatigantes, difficiles ou douloureuses. Difficile, parfois, de rester allongée, obligée de se reposer alors qu'on n'est pas malade, mais juste enceinte. Difficile, aussi, de se voir changer, d'avoir les nerfs à fleur de peau, d'avoir des sautes d'humeur ou les larmes aux yeux sans raison autre que l'augmentation du taux d'hormones de grossesse… mais quelle sensation merveilleuse, aussi, que de se savoir enceinte, de sentir cette plénitude de la vie naissance, cette joie profonde, sereine, pleine et entière, de se sentir devenir mère, avec la fragilité et les doutes qui accompagnent cette période si particulière de la vie de la femme.

Quand à l'éternelle question de savoir si un fœtus ou un embryon est un être humain… pour ma part, bien sûr, elle ne fait aucun doute ! Pourquoi un enfant né prématuré à 7 mois de grossesse aurait-il plus le statut d'être humain qu'un bébé avorté à 7 mois parce qu'une anomalie congénitale, génétique ou autre, a été décelée in utero ? Dans un cas, il y a prématurité et dans l'autre interruption thérapeutique de grossesse… qu'est-ce que cela change, sur le fond ? Le « projet parental » y était dans les deux cas, sinon la grossesse n'aurait pas été poursuivie. Alors qu'est-ce qui fait la différence, sinon le droit que l'on s'est octroyé de décider que le petit prématuré devait vivre et que l'autre devait mourir parce qu'il risquait d'être handicapé ? Parce qu'on s'est donné le droit de simplement l'éliminer ? Cela en dit long sur l'enfant, malheureusement, que l'on s'arroge le droit de tuer (n'ayons pas peur des mots!) parce qu'il n'est pas « conforme » au projet parental, sans doute. Là encore, l'enfant est donc un objet. Un « objet » que l'on désire avoir, que l'on cherche à obtenir, parfois à un prix exorbitant (GPA)1, parfois au prix de manipulations cellulaires (PMA2…), un « objet » que l'on « doit » avoir pour avoir réussi sa vie, au même titre que la maison, le boulot et le chien.

Cynique, moi ? Non. Juste triste et réaliste.

Je pense à tous ces enfants qui ne naîtront pas parce qu'ils n'étaient pas « désirés ». À tous ceux qui sont morts avant de naître parce qu'ils sont arrivés « au mauvais moment » ou « pas avec le bon père ». À tous ceux, aussi, qui portent le poids immense de devoir être conformes aux désirs de leurs parents parce qu'ils ont le « droit » d'avoir un enfant « quand ils veulent » et « s'ils le veulent ». « Comme ils le veulent », aussi ?

Comment s'étonner que les hommes et les femmes se fassent du mal, s'ils sont capables de considérer ce qu'il y a de plus précieux, de plus sacré, de plus fragile, la vie, comme une marchandise ?

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1Entre le moment où j'ai préparé ce billet et le moment où je l'ai posté, la CEDH a donné raison à un couple italien qui s'est vu retirer l'enfant qu'ils avaient acheté 45000€ en Russie, au motif que la GPA est illégale en Italie. L'enfant est resté 6 mois dans la famille de ses « acquérants » avant d'être confié à une famille d'accueil, où il vit depuis 18 mois. Au final, « l'intérêt supérieur de l'enfant » prévaut : il n'a pas été rendu à ses « acquérants » parce que, je crois, il a passé plus de temps dans sa famille d'accueil. Mais l'Italie a quand même été condamnée à verser 30000€ au couple comme dommages et intérêts. Il est sans doute maintenant impossible à un État (dont la France) d'interdire la GPA ou, au moins, la transcription à l'état civil de l'acte de naissance à l'étranger de l'enfant conçu dans le cadre d'une GPA… (voir ici

2Toujours dans la même veine, des recherches entreprises en Angleterre pour permettre de créer des bébés dépourvus d'un gêne malade via un changement de mitochondries (j'y comprends pas grand-chose d'un point de vue technique, cela va de soi, mais c'est super intéressant !). Les recherches semblent avoir abouti, puisque ces actes, si j'ai bien tout compris, viennent d'être autorisés… On n'est pas sortis. À quand le « bébé à la carte » ? Vive le « Meilleur des mondes » ! (voir ici)